Roger MARION Sculpteur

Roger MARION Sculpteur

"L'oeil bleu pétillant, belle barbe grise, Marion est un personnage atypique, chaleureux, solide, habitué à se mesurer à des tonnes de pierres. Ses oeuvres sont souvent colossales, superbes..., en marbre, en basalte, le corps féminin et ses rondeurs sont un de ses thèmes préférés. Avant sa rencontre avec l'Ardèche en 1958, l'artiste né à Paris, a suivi les cours de Marcel Bodard, puis s'est retrouvé dans l'atelier d'un ancien élève de Bourdelle, Léon Séverac, place des Vosges. Plus de 250 expositions... A Amsterdam, Hambourg, Bâle, Darmstadt, au grand palais à Paris, en Pologne, à Pragues... Il est également l'auteur de vingtaine de monuments, trente-cinq tonnes de sculptures dans la chapelle de l'hôpital départemental de Lozère, 15 m2 de mosaïque et une statue de quatre tonnes au théâtre de Casteljau, 40 m2 de mosaïque au théâtre romain de Bourg Saint Andéol..." Nadette Etienne On peut admirer plusieurs de ses oeuvres dans la ville thermale de Vals les Bains; une femme assise, les jambes repliées sous elle, dans le parc Combier, et depuis 2005, à l'entrée de la rue Jean Jaurès, une fontaine décorée d'un bas relief "les trois graces", qu'il a réalisé en pierre de l'Ardèche, de la carrière Calcia de Cruas, représentant trois jeunes femmes à leur sortie de bain. Il vit à Aubenas où se trouve son atelier au 77 rue de Tartary.

Roger MARION 70 rue de Tartary 07200 AUBENAS Tel 04 75 93 72 72

La manifestation de l’Art moderne est connue pour sa rupture avec la figuration de l’art classique. Les principaux mouvements de l’Art moderne sont l’impressionnisme, expressionnisme allemand, fauvisme, cubisme, dadaïsme et nouvelle objectivité.

L’art romantique représente le langage artistique d’une société qui se cherche à travers une pensée nouvelle après avoir éradiqué l’ancienne. Le romantisme se construit entre empires, monarchies et républiques et s’affole dans une révolution industrielle sans en maîtriser le développement.

Pendant la seconde moitié du XIXe siècle, un groupe de jeunes artistes décide de peindre la réalité en dehors du respect des règles traditionnelles de l’art officiel. C’est le début de l’impressionnisme qui s’attache « à rendre purement et simplement l’impression telle qu’elle a été ressentie matériellement ».